Chocolatier-confiseur : un métier passionnant

Le spécialiste du chocolat et de la confiserie détient le titre de chocolatier-confiseur. Son but ultime demeure la satisfaction de sa clientèle. Afin d’y parvenir, il crée ou améliore de nouvelles recettes de différentes friandises. Cet article relate les formations et les qualités requises pour l’exercice de ce métier.

Les attributs du chocolatier-confiseur

Cet artisan prend en considération la totalité de sa production : cela consiste à préparer les pâtes et garnitures, cuire et décorer les œuvres/créations. Il doit être habile des mains et faire preuve de créativité, outre le côté esthétique. Toutes ses qualités sont nécessaires pour devenir un bon chocolatier-confiseur. Pour faire face à la concurrence des produits industrialisés (qui sont plus abordable), l’artisan devra créer des pièces originales. Ainsi, il pourra persuader sa clientèle de rester fidèle à ses créations.

En quoi consiste le métier de chocolatier-confiseur ?

Le chocolatier-confiseur a pour mission de créer/élaborer des recettes à partir du sucre et du chocolat. Dans ses créations, il devra être capable de bien doser et de cuire les matières premières. Ses principaux outils de travail demeurent le congélateur, le fouet, le four, le cornet et les emporte-pièces. Il effectue toutes ses préparations dans le respect strict des règles d’hygiène. Ses locaux ainsi que tous ses matériels doivent refléter une propreté exemplaire. Le sens du détail serait également un atout majeur s’il veut exceller dans son travail.

Les formations à suivre et les débouchés possibles

Pour exercer le métier de chocolatier-confiseur, il faut avoir un CAP éponyme ou en pâtisserie. En évoluant, il est possible d’obtenir une MC spécialisée en pâtisserie-glacerie-chocolaterie-confiseries. Au niveau professionnel, un diplôme de BTM chocolatier peut ouvrir les portes du concours de meilleur ouvrier de France. De même, cette graduation permet l’accession à des fonctions de cadre. En parallèle, un chocolatier-confiseur pourra œuvrer dans l’industrie agroalimentaire et voir ses œuvres vendues dans les supermarchés. Il lui sera possible d’adhérer à un atelier d’artisan pour améliorer ses acquis.